L’ONG AIMES AFRIQUE a démarré lundi une mission médico chirurgicale foraine gratuite dans la préfecture de l’Ogou située dans la région des Plateaux. L’organisation présidée par Prof Honoraire Serge Michel KODOM, à travers cette mission,  vise à apporter des soins de santé aux populations rurales de cette préfecture.

Le personnel médical de AIMES AFRIQUE, fidèle à sa mission d’amener l’hôpital vers les populations, a commencé la phase des consultations spécialisées dans le cadre de la mission médico-chirurgicale que l’organisation organise dans la préfecture de l’Ogou du 18 au 24 mars.

Les villages de Akparé (25 Km d’Atakpame) et Kélékpé (29 Km d’Atakpame), tous les deux situés dans la commune Ogou2, sont les premiers à accueillir les équipes médicales de AIMES AFRIQUE. Constituées de diverses spécialités, les équipes médicales ont pour mission de recenser les cas nécessitant des interventions chirurgicales et de procéder à des distributions de produits pharmaceutiques.

 « Nous sommes contents de la mobilisation des populations pour bénéficier de cette mission médico chirurgicale organisée par AIMES AFRIQUE en partenariat avec le ministère de la santé et sous le patronage du Président de la République son excellence Faure Gnassingbé. Nous allons consulter dans les spécialités comme la chirurgie générale, la stomatologie, ORL et génécologie. Nous allons ensuite retenir les cas à opérer pour la suite de la suite »,  Dr Jules KPAKPO, Stomatogue, membre de AIMES AFRIQUE.

 A travers cette mission, AIMES AFRIQUE veut faciliter l’accès aux soins médicaux dans les milieux ruraux. Sur cette mission, l’objectif est de réaliser 2500 consultations spécialisées et 250 opérations chirurgicales.

 En rappel, cette phase des consultations spécialisées  se déroulent jusqu’au 21 mars. Dans la foulée, les interventions chirurgicales vont commencer au CHR d’Atakpame. Elles vont se terminer le 24 mars. Au cours de cette mission, il sera organisée une série de formations à l’endroit des responsables des USP/CMS pour le renforcement de leur capacité dans la prise en charge des plaies opératoires et la seconde à l’endroit des praticiens de la médecine traditionnelle.